En 1826, un jeune prêtre de Douai, Jean-Baptiste Debrabant (1801-1880), fonde la Congrégation des Sœurs de la Sainte-Union.
Encouragé par la foi et l’ardeur du fondateur, les Sœurs ouvrent, dans le Nord Pas-de-Calais, de nombreuses écoles pour les filles pauvres et non instruites. Puis, à partir de 1833, en Belgique, en Angleterre et en Irlande.
Sans cesse mon esprit recherchait les moyens d’assurer l’avenir de la jeunesse. Je ne voyais que dans une éducation chrétienne et solide l’espoir d’un meilleur avenir pour la religion et la société
Les Sœurs de la Sainte-Union vivent dans un esprit de communion entre elles et avec le Christ Sauveur. Partageant la mission avec de nombreux laïcs, elles sont envoyées dans le monde, au service de l’évangélisation.
Aujourd’hui, une de leurs priorité demeure l’engagement dans l’enseignement et la pastorale en milieu scolaire et paroissial. Elles sont aussi présentes auprès des personnes porteuses de handicap, des personnes âgées ou défavorisées.
Engagées auprès des plus pauvres, elles sont présentes dans 13 pays, notamment en Argentine, aux États-Unis, au Bénin, en Tanzanie, au Cameroun et en Haïti.
Dans la province franco-belge, il y a 2 communautés. Les Sœurs de la Sainte-Union assurent la tutelle d’établissement scolaires et ont fondé les foyers Bethsaïde sur Douai et Valenciennes.
Leurs tâches pastorales se diversifient selon les appels de l’Église, les besoins sociaux et les aptitudes des personnes.
Le charisme – l’inspiration de départ – n’est pas figé mais reste fidèle aux institutions de Jean-Baptiste Debrabant.
Enracinés, éclairés par l’Évangile partagé et annoncé dans le respect de chacun, nous nous engageons à porter un regard positif, qui fait grandir et témoigne de cette Espérance qui nous anime.